Le cas de Jean-Marc
A 68 ans, Jean-Marc (89 kg pour 1,78 m) est un jeune retraité plein d'enthousiasme. En continuant une activité de conseil, il s'accommode progressivement du changement de rythme brutal après une vie professionnelle particulièrement bien remplie dans l'industrie.
Sur sa prise de poids, c'est surtout l'effet du stress au travail pendant les dix dernières années, qu'il évoque. C'est depuis cette époque qu'il a pris l'habitude de se défouler le soir en faisant de la boxe avec un sac de sable et aussi en compensant avec des diners tardifs. Et le surpoids s'est installé silencieusement au fil des ans.
Plein de bonnes résolutions, il a décidé de prendre en main son problème de poids un 1er janvier. D'abord pour pouvoir profiter à nouveau d'une partie de sa garde-robe. Et aussi pour éviter les pépins de santé, car il est issu d'une famille de diabétiques. Pour l'heure, il souffre uniquement de crises de goutte depuis dix ans et son dernier bilan est anormal : "des triglycérides élevés, un bon cholestérol un peu trop bas et un peu de sucre dans le sang", lui a t'on dit. Avec un tour de taille de 110 cm, Jean-Marc a tous les facteurs de risque du syndrome métabolique, sauf la tension qui elle est normale.
Monté à 92 kg, il a réussi à perdre 3 kilos en quatre mois d'une méthode personnelle, en réduisant les quantités et reprenant une activité physique régulière plutôt intense (jusqu'à 5 h d'un mix vélo-randonnée-salle de gym !).
Accompagné ensuite par Thaïs, Jean-Marc réussira à perdre plus de 6 kg et 8,5 cm de tour de taille en 9 mois, et surtout obtiendra la complète correction du syndrome métabolique.
Tout en recevant des remarques quotidiennes sur sa nouvelle allure.